Alpine Canada Alpin est l'organisme national gérant le ski alpin, le ski para-alpin et le ski cross de compétition au Canada. Grâce à l'appui de précieux partenaires corporatifs ainsi que du Gouvernement du Canada, du programme À nous le podium et du Comité olympique canadien, Canada Alpin forme des médaillés olympiques, paralympiques, de championnats mondiaux et de Coupe du monde afin de stimuler visibilité, inspiration et croissance au sein de la communauté de ski.
 

Les clubs de ski fournissent les programmes quotidiens de développement des skieurs et des coureurs bien équilibrés qui peuvent choisir de poursuivre le sport aux niveaux d'élite. Les clubs de ski varieront dans leurs philosophies. Cependant, le dénominateur commun est qu'ils veulent que les enfants deviennent de grands skieurs qui trouvent l'exaltation et le plaisir du ski.

Dans notre Plan stratégique 2015-2018, Canada Alpin s'est engagé à renforcer le pipeline de développement et les relations avec tous ses partenaires au Canada, permettant ainsi aux clubs et aux organismes de ski provinciaux d'atteindre l'objectif de susciter l'euphorie et le plaisir pour les enfants et leurs familles. un groupe talentueux de skieurs dotés des compétences nécessaires pour atteindre et exceller au niveau élite.

Notre vision est que le Canada soit un chef de file mondial en ski alpin, para-alpin et ski cross en étant solidement placé parmi les meilleures nations de l'arène internationale de ski de compétition. Le but ultime de toutes les fédérations nationales de ski est la médaille d'or olympique.

Concept simple : le skieur le plus rapide à déferler un parcours remporte la course.

Si vous décortiquez le tout en détails, le sport demeure simple.

Même si le ski alpin a évolué au cours des 150 dernières années, il existe une grande constance au sein de ce sport.  C’est une question de vitesse, une vitesse électrifiante qui vous coupe le souffle.

Le sport exige une bonne dose de courage et des habiletés toutes aussi grandes.  Force, souplesse, équilibre et technique sont les éléments moteurs.

Et bien que le ski ait fait de grandes percées en matière d’équipement et de technologies au cours des dernières années, l’essence du sport suit le même courant.

Aucun juge ne détermine un pointage.  Aucun point n’est attribué au style.  Uniquement une question de chiffres qui représentent le temps nécessaire au skieur pour franchir un parcours du départ à l’arrivée en traversant une série de portes.  C’est ainsi qu’est déterminé le résultat de chaque épreuve.

En d’autres mots, le ski alpin que l’on appelle ainsi puisque l’on skie le long ou près de la bordure des arbres, est un sport de glisse sur des pistes ou montagnes couvertes de neige sur des skis munis de fixations immobiles.

Il existe plusieurs types différents de ski alpin, mais le plus commun se divise en cinq disciplines principales soit les cinq auxquelles participent les coureurs de ski aux Jeux olympiques :  

LA DESCENTE

Elle implique les vitesses les plus élevées et engendre donc les plus grands risques.  La descente est la plus glamour de toutes les disciplines alpines.  Les meilleurs descendeurs au monde dont le Canadien Erik Guay sont les vedettes rock du sport.  Les épreuves de descente présentent les plus importantes inclinaisons de toutes les disciplines alpines.  Les skieurs peuvent atteindre la marque du 130 kilomètres à l’heure sur une piste typique de Coupe du monde, mais certaines sections de la célèbre  Lauberhorntrack de Wengen en Suisse ainsi que la piste Hahnenkamm de Kitzbühel, Autriche, permettent d’atteindre 150 kilomètres/heure. 

Une piste de descente classique comprend des portes assez rapprochées les unes des autres.  Chaque parcours est conçu pour mettre à épreuve les habiletés de ski à haute vitesse en traversant des virages ardus, de légères inclinaisons, des plats et des sauts.  Les virages sont positionnés de façon stratégique pour le contrôle de la vitesse du coureur.   Les skis de descente sont plus longs que les skis de slalom afin d’offrir une meilleure stabilité en haute vitesse.  Les bâtons de ski sont courbés afin de suivre le profil du corps alors que le coureur se place en position aérodynamique de recherche de vitesse.  La plus audacieuse de toutes les disciplines du ski, la descente est également synonyme de divertissement du sport en ski alpin.  Aux côtés du super G, l’on réfère à ces deux spécialités comme les disciplines de vitesse.  Le titre de champion mondial de descente est l’un des plus prestigieux en ski alpin et le Canada a remporté des médailles lors des épreuves masculines lors de trois Championnats du monde de suite, événements tenus tous les deux ans.  Jan Hudec a mérité la médaille d’argent en 2007 avant que  John Kucera ne remporte l’or en 2009.   Devant l’incapacité de Kucera de défendre son titre en 2011 en raison d’une blessure, Guay a pris la relève et offert une superbe descente à Garmisch-Partenkirchen, Allemagne, devenant du coup le nouveau champion mondial de descente. 

LE SLALOM

Si la descente se définit par la vitesse, le slalom est synonyme d’habiletés techniques.  Les meilleurs slalomeurs au monde fonce avec force et souplesse en se frayant un chemin à travers un parcours plus court qui comporte plusieurs virages, le plus grand nombre, toutes disciplines alpines confondues.  Ils doivent passer entre des piquets qui forment une série de portes (55 à 75 chez les hommes et 40 à 60 chez les femmes) organisée en des diverses configurations.  Le skieur qui obtient le meilleur temps combiné de deux manches individuelles est couronné gagnant.   Les skieurs de slalom adoptent une trajectoire directe et frappent les piquets hors de leur passage pour continuer (ce que l’on appelle « bloquer »), ils doivent porter un équipement de protection qui comprend les protège-tibias, des protecteurs aux bras, des gants rembourrés et des protecteurs au visage. Du côté des dames, le Canada possède plusieurs jeunes slalomeuses de talent dont Marie-Michèle Gagnon et Erin Mielzynski.

LE SUPER G

Le slalom super géant (communément appelé super G) réunit la vitesse pure d’une compétition de descente aux habiletés techniques du slalom.  Il présente des virages longs à des vitesses vertigineuses sur des parcours légèrement moins abrupts qu’en descente.   Ainsi, le super G est classé comme une discipline de vitesse.   Il fait son apparition en Coupe du monde en 1982 et est ajouté au programme des Championnats du monde deux ans plus tard pour faire ses débuts olympiques en 1988.   Le Canadien Erik Guay a raflé le Globe de cristal au titre de champion mondial de super G après s’être classé en tête de ce classement à l’issue de la saison 2009-2010.  

LE SLALOM GÉANT

Comme le suggère le nom, le slalom géant est composé d’un parcours plus imposant et plus long que le slalom traditionnel et de 30 portes placées à 10 mètres ou plus les unes des autres.  Considérée comme une discipline technique, les géantistes utilisent des skis plus longs qu’en slalom, mais plus courts qu’en descente ou en super G.   Le slalom géant comprend généralement deux manches disputées sur deux parcours différents, mais tracées sur la même piste.  Le skieur le plus rapide en combinant les temps des deux manches remporte la course.  

LE  SUPER COMBINÉ

Consiste en une descente ou un super G raccourci suivi d’une manche de slalom.  Le super combiné a été introduit par la Fédération internationale de ski en 2005.  Précédemment, il existait la traditionnelle épreuve du combiné qui réunissait une descente et deux manches de slalom.  Les deux formats du combiné couronnent un gagnant en cumulant tous les temps du coureur.  Le plus rapide remporte l’épreuve.   La spécialité n’est pas soi une discipline, mais le combiné est généralement perçu comme la cinquième discipline du ski alpin.

ÉPREUVE EN ÉQUIPE

Les Jeux olympiques de PyeongChang de 2018 marqueront l’arrivée officielle de l’épreuve en équipe aux Jeux olympiques. L’épreuve comprend un agencement de deux hommes et deux femmes par équipe qui s’affrontent pour leur équipe nationale lors d’une confrontation en directe de slalom selon le principe de ronde par élimination. Traditionnellement, 16 équipes amorcent la compétition. L’épreuve en équipe de ski alpin a fait ses débuts aux Championnats du monde FIS en 2005 et la formule de course parallèle en 2011. Le Canada avait revendiqué sa première médaille dans cette discipline lors des Championnats du monde de 2015 à Vail/Beaver Creek, Colorado en repartant avec l’argent. 

Le slalom et le slalom géant étaient les deux seules épreuves de ski alpin des premiers Jeux paralympiques d’hiver tenus à Örnsköldsvik, en Suède, en 1976.   Aujourd’hui, les athlètes avec un handicap physique s’affrontent des les cinq disciplines du ski alpin : descente, super combiné, super G, slalom et slalom géant et empruntent certains des sites du circuit féminin de la Coupe du monde.  

Le ski para-alpin comprend trois grandes catégories : handicaps visuels, debout et assis.  Les athlètes masculins et féminins atteint d’une déficience physique telle qu’une blessure médullaire, la paralysie cérébrale, une amputation ou une déficience visuelle s’affrontent dans la catégorie correspondante.  

Tout est question de vitesse, des vitesses vertigineuses et époustouflantes.  

Ce sport requiert un grand courage et des habiletés aussi magistrales, en plus de la force, de la souplesse, de l’équipement et de la technique.  Le ski para-alpin a fait de grandes percées technologiques et connu des améliorations au niveau de l’équipement au cours des dernières années, mais l’essence de ce sport demeure constante.   Aucun juge ne donne de pointage, aucun point n’est alloué pour le style.  Il ne s’agit que de chiffres, le chrono du skieur du départ à l’arrivée après avoir complété le passage de portes entre les deux déterminera l’issue de l’épreuve.   

Au sens propre, le ski alpin, appelé ainsi en raison de sa référence au ski à ou près de la limite forestière, est un sport de glisse sur des pentes ou montagnes couvertes de neige sur des skis munis de fixations fixes.

Il existe plusieurs types de ski alpin, mais le plus commun se divise en cinq principales disciplines auxquelles participent les coureurs de ski aux Jeux paralympiques :

* Le ski para-alpin est régi par le Comité international paralympique (CIP) par l’entremise du Comité international de ski para-alpin (CISPA).  Les règles du CIP sont utilisées lors des épreuves de ski para-alpin. 

Catégories: 

Handicap visuel

B1 : Acuité visuelle inférieure à 2.60 sur l’échelle LogMAR

B2 : Acuité visuelle varie entre 1.50 et 2.60 (inclusivement) à l’échelle LogMAR et/ou le champ de vision est restreint à un rayon de moins de 5 degrés.

B3 : Acuité visuelle varie entre 1.40 à 1 (inclusivement) à l’échelle LogMAR et/ou le champ de vision est restreint à un rayon de moins de 20 degrés.

Pour les classes de la catégorie Handicaps visuels, la présence d’un guide est obligatoire.  Le compétiteur et le guide forment alors une équipe.  Les skieurs non-voyants sont dirigés sur le parcours par des guides qui skient devant eux en se servant uniquement de signaux vocaux ou de radiocommunications.  

Aucun contact physique entre le guide et le compétiteur n’est permis durant la course. La distance entre le guide et l’athlète ne doit pas excéder trois (3) portes et doit être de moins de deux (2) portes en GS, SG et DH en excluant les bananes et les combinaisons verticales.

Tous les guides doivent skier devant les compétiteurs.  

Tous les compétiteurs non-voyants (classe B1) doivent porter des lunettes de protection opaques homologuées durant la compétition.

Debout

LW1 : amputation double au-dessus du genou ou déficiences causant une perte similaire des membres

LW2 : amputation simple au-dessus ou au-dessous le genou ou déficiences causant une perte similaire du membre

LW3 : amputation double au-dessous du genou ou déficiences causant une perte similaire des membres

LW4 : amputation simple au-dessous du genou ou déficiences causant une perte similaire du membre

LW5/7 : amputation double au-dessus ou au-dessous du coude ou déficiences causant une perte similaire des membres

LW6/8 : amputation double au-dessus ou au-dessous du coude ou déficiences causant une perte similaire du membre

LW9 : limite équivalente de l’activité en raison de l’amputation des membres inférieurs et supérieurs  

Les athlètes dans certaines classes (exemple : personne ayant une amputation à une jambe skiant sans prothèse ainsi que le skieur se servant d’un fauteuil-ski) utilisent des bâtons spéciaux appelés stabilisateurs. Chaque extrémité des stabilisateurs possèdent de courtes lames de ski et aident le skieur à maintenir son équilibre. 

Une liste complète des classes et autres renseignements utiles se retrouvent sur le site: http://www.paralympic.org/alpine-skiing/rules-and-regulations/rules

Assis

LW10 : monoskieurs (haut niveau de paraplégie, aucun contrôle de la partie médiane/inférieure du corps)

LW11 : monoskieur (niveau moindre de paraplégie, avec contrôle limité du tronc)

LW12 : monoskieurs (degré moindre de paraplégie, paralysie incomplète possible de la partie inférieure)

Certains athlètes ayant un handicap physique participent à la compétition dans une position assise, utilisant un fauteuil-ski, aussi appelé un monoski. Tel que suggéré par le nom, le monoski utilise un siège (fauteuil) spécialement adapté à un seul ski. Le siège comprend des ceintures de sécurité et autres attaches, en plus d’un appareil de suspension afin de réduire les chocs au niveau du corps du skieur.

Disciplines:

Descente: 

En raison des vitesses élevées atteintes et de ce fait, de la prise de risques importantes, la descente demeure la discipline ayant le plus de notoriété en ski alpin et para-alpin. Les skieurs peuvent atteindre les 130 km/h sur une piste type de descente en Coupe du monde.  Chaque parcours est conçu pour mettre à l’épreuve les habiletés du skieur à haute vitesse à travers une série de virages, de légères inclinaisons, de plats et de sauts.  Les virages sont stratégiquement insérés afin de contrôler la vitesse des coureurs.  Les skis de descente sont plus longs que ceux de slalom dans le but de fournir une meilleure stabilité au coureur à haute vitesse.  Les bâtons de ski sont pliés afin de suivre la forme du corps du coureur qui tente de demeurer en position aérodynamique de recherche de vitesse.  Le titre de champion mondial de descente est l’un des plus prestigieux honneurs du sport et le Canadien Mac Marcoux (guidé par BJ Marcoux) a remporté ce titre lors des Championnats du monde de ski alpin CIP 2015 à la station Panorama, en C.-B.

Super G: 

Le super slalom géant (ou super G) est une épreuve qui combine la vitesse de la descente aux virages d’un slalom géant.  Comme pour la descente, la discipline est considérée comme une spécialité de vitesse et les coureurs disputent une seule manche sur le parcours.  Le tracé comprend de larges virages à grande vitesse à dénivellations légèrement moins abruptes qu’en descente. Les temps des athlètes déterminent l’ordre d’arrivée.

Slalom: 

Le slalom est une épreuve technique. Les meilleurs slalomeurs au monde se servent de leur combattivité, leur force et leur souplesse sur un parcours qui est plus court que pour les autres épreuves de ski alpin, mais qui comprend plus de portes. Le skieur qui combine les deux meilleurs chronos de ses deux manches individuelles est déclaré le gagnant de l’épreuve.  En raison du contact direct du skieur avec les piquets qu’il doit négocier à chaque porte (que l’on réfère souvent comme bloquer une porte), il lui faut porter un équipement de protection spécifique à la discipline dont des protège-tibias, des protège-bras, des gants rembourrés et des protecteurs faciaux. Le tracé est le plus court de toutes les épreuves de ski alpin et comprend un nombre élevé de portes (50-75).  La pénalité lorsque l’athlète manque une porte est la disqualification.   Chaque athlète complète deux manches tenues le même jour sur des parcours différents.   Le temps des deux courses est additionné afin de déterminer l’ordre d’arrivée.

Slalom géant: 

Comme le suggère son nom, le slalom géant présente un tracé plus long que le slalom traditionnel et comprend au moins 30 portes.   Considéré comme une épreuve technique, le slalom géant utilise des skis plus longs que ceux de slalom, mais plus courts que des skis de descente et de super G.  Le slalom géant comprend généralement deux manches tenues le même jour sur des parcours différents. 

Le temps des deux courses est cumulé afin de déterminer le gagnant de l’épreuve.

Super combiné: 

Consiste en une épreuve raccourcie de descente ou de super G à laquelle est jointe une manche de slalom.  Le super combiné est une compétition excitante puisqu’elle réunie les habiletés des épreuves techniques et de vitesse. Le temps des deux courses est cumulé afin de déterminer l’ordre d’arrivée.

Le sport électrifiant, rempli d’action qui carbure à l’adrénaline a fait ses débuts olympiques comme sport avec médailles lors des Jeux d’hiver de 2010 à Vancouver-Whistler.

Avant les Jeux, le ski cross avait déjà fait sa marque comme sport immensément populaire à la télé.

Ajoutant le gain historique de la Canadienne Ashleigh McIvor d’une première médaille d’or olympique chez les dames, et son coéquipier Chris Del Bosco donnant naissance à une des histoires les plus marquées des Jeux.  L’or dans la mire, une chute en finale masculine mettait  fin à sa conquête, mais le sport acquerrait une explosion en popularité.   

Les parcours de ski cross offrent autant d’éléments topographiques naturels que des composantes artificielles dont les tremplins en neige, les pyramides (où le point d’envolée est presqu’au niveau du point d’atterrissage), des rouleaux (bosses en vagues et/ou ondulées) et de hauts virages relevés.

Le ski cross se démarque toutefois des autres sports dont le ski alpin en raison du fait que plus d’un skieur déferle la piste simultanément.  

Quatre à six coureurs se retrouvent en confrontation directe, au même moment, avec comme cible d’arriver premier.  

Hormis la ronde initiale de qualification, il ne s’agit pas d’essais chronométrés.   

L’unique agencement d’une topographie exigeante au niveau technique et d’une course en confrontation directe fait du ski cross un sport excitant à suivre pour le spectateur.  

Le contact entre les coureurs est désapprouvé.

Format

En Coupe du monde, aux Championnats du monde et lors des épreuves olympiques, se retrouve une ronde initiale de qualification qui tient lieu d’essais chronométrés alors que les skieurs déferlent la piste solo.  Les skieurs obtenant les chronos les plus rapides avancent au tour suivant durant lequel quatre coureurs s’affrontent en même temps.  Les deux premiers avancent à la ronde suivante.  Le processus est répété jusqu’à concurrence d’une lutte à quatre pour l’or, l’argent, le bronze et la quatrième position.   Une petite finale ou ronde de consolation  est également tenue afin de déterminer les skieurs classés cinquième à huitième au classement final.  Lors des Jeux d’hiver Xtrêmes, un des événements d’envergure du sport, six skieurs s’affrontent simultanément au lieu de quatre.  

La puissance des étoiles

Le Canada possède parmi les plus grandes étoiles du sport. Del Bosco a été une force dominante et un élément de performance constante aux plus hauts échelons de la compétition, remportant le titre des Championnats du monde en 2011 et l’or aux Jeux Xtrêmes en 2010 et 2012. Marielle Thompson avait été la médaillée d’or olympique du Canada en 2014 et à la fin de la saison 2015-16, elle comptait 23 podiums en carrière. En 2012, Thompson écrivait une page d’histoire en devenant la première Canadienne à remporter un Globe de cristal individuel en Coupe du monde en ski cross. Kelsy Serwa, médaillée d’argent olympique en 2014, médaillée d’or aux Jeux Xtrêmes en 2011 et 2015 et Championne mondiale, s’est aussi distinguée comme l’une des meilleures au monde. Brady Leman, qui complétait sa saison 2015-16 au troisième rang du classement mondial, a été couronné champion des Jeux Xtrêmes en 2016. Le groupe talentueux de l’Équipe de ski cross du Canada détient de nombreux titres de la Coupe des nations, un trophée décerné à l’équipe ayant cumulé le plus de points en Coupe du monde en une saison.